Marquant des pauses de plus en plus longues, le président fait honneur à l’entrée au Panthéon de l’écrivain décédé, ainsi que de ses camarades des tranchées : « A travers le sépulcre de Maurice Genevoix, à travers ses camarades, leur nom, leur vie, et en recréant ce lieu unique, le Panthéon, palimpseste de notre Nation. » Debout devant le drapeau bleu, blanc et rouge ornant le cercueil du poète, le président finit son discours par un lourd « Vive la République, vive la France ». S’ensuit une minute de silence, puis le début de la Marseillaise se fait entendre dans l’immense salle de manière forte, comme pour faire écho au symbole que représente Maurice Genevoix et ses œuvres dans le patrimoine français.